Lada est une jeune fille pétillante, sans cesse souriante et très sociable. Un brin curieuse, certaines langues font d’elle une fouineuse casse-pied. C’est qu’il est difficile de résister à son charme si envoûtant, l’envie de pincer ses joues rebondies s’assouvirait de lui-même si l’on s’adonnait à l’oubli de son rang. Parce que malgré son air d’innocence, Lada est avant tout une âme bloquée dans un corps adolescent. Une déesse aux multiples millénaires qui subit de plein fouet le jeu nauséeux des émotions adolescentes, tantôt louant les plaisirs de la vie tantôt maudissant ses parents divins de l’avoir mise sur Terre. Lada oscille non sans peine entre son besoin perpétuel de répandre la joie, l’amour et la paix autour d’elle, et son indéfectible chagrin dû à une existence qui connait son lot de souffrances. Souvent sous-estimée, c’est un lourd combat aux nombreux fronts que les Anciens Dieux font porter sur ses épaules. Lada ne se soumet jamais très longtemps au désespoir. Elle revient à ses distinctifs sauts enjoués, aux sourires qui illuminent des journées bien sombres. Elle plonge à nouveau tête baissée dans ces luttes qui alimentent sa flamme intérieure, pour à nouveau s’impatienter, perdre espoir, maudire sa naïveté. Les Dieux lui ont donné une mission qu’elle compte réussir, qu’importe l’amas d’échecs qu’elle devra essuyer.

Quel est votre rapport avec les autres mythes
Lada n’est pas de nature à porter des jugements trop hâtifs mais elle a un nombre indéfini de siècles à son actif, son avis est bien assis. Elle se méfie grandement des Oupyrs et faisant partie du Sabbat s’y oppose absolument. Autrement, Lada est liée à tous les mythes. Solitaires ou non, hybrides compris, elle leur porte une fidèle considération. C’est qu’elle souhaite le retour des Anciens Dieux et fait le vœux d’une union où tous les mythes seraient respectés et vivraient en paix. Elle se méfie peut-être davantage des créatures à tendance libertaires telles que les Vilas, Jill ou encore les Liétchis. Mais c’est volontiers qu’elle accorde crédit à ceux qui montrent leur nature bienveillante profonde.

Quelle est votre estime des mortels ?
Lada ne saurait remonter à la date de son installation dans le village humain de Bran. Les années lui ont apporté la preuve de la bienveillance des humains non démonisés par l’ignorance et une doctrine perverse. Après les Baba Yaga, c’est avec cette race que Lada a quotidiennement contact. Ses voisins les plus proches sont ni plus ni moins des humains et cela lui convient tout à fait. La majorité respecte les mythes à l’image de leurs compères humains. C’est aux yeux de Lada l’exemple même de la possibilité d’un monde réuni, où mythes et humains vivent ensemble en harmonie. Ceci menant à la question des touristes, bien moins appliqués au respect des règles naturelles.  L’immortelle se méfie d’eux, ou plutôt de leur ignorance et de leur curiosité malsaine. Leur entêtement les mènent à leur propre perte. S'il y a bien une chose sur laquelle Lada est intraitable, c'est le respect de la création divine et des mythes. Elle ne porte donc pas les touristes en estime et les évite.


Quelles sont vos capacités et quel en est votre maitrise?
Il serait insatisfaisant de parler de maitrise lorsqu'il s'agit d'évoquer les pouvoirs de Lada. Inspirer la joie, le rire est indissociable d'être pour la déesse. Elle est la joie enfantine même. L'une ne peut exister sans son autre. C'est tout naturellement qu'elle déambule dans les ruelles du village en sautillant, saluant les badauds, échangeant sur les potins sans y apporter trop de sérieux. Quitte à saupoudrer ici et là quelques flocons divins, qu'il en soit ainsi.
Son assurance pâlit quand il s'agit d'une énième capacité qui sienne, celle-là même qu'elle ne maîtrise que moyennement - faute d'entraînement et de passion à son égard, sans doute. Les Anciens Dieux lui ont donné le pouvoir de redorer tout objet et être de sa superbe jeunesse. Un pouvoir dangereux sur deux plans. Dans un premier temps parce qu'il nécessite un équilibre, soit le sacrifice d'une autre jeunesse pour qu'une nouvelle advienne. Dans un second temps parce qu'il attire des êtres malintentionnés, prêts à toute cruauté pour retrouver le goût de la jeunesse. Aussi se montre-t-elle évasive voire muette à l'évocation de ce pouvoir.

Que pensez-vous de Dracula et de son pacte avec les villageois ?
Dès ses prémices le Pacte a été considéré comme insuffisant pour le Sabbat. Un pansement sur une jambe cassée. L’égalité créatures/humains n’assoiffera jamais l’ambition humaine, cette race ne sait se contenter de ce qu’on lui permet. C’est la pensée que partage les Baba Yaga, Lada y comprit malgré ses bonnes relations avec eux et une position moins franche que ses compères. Elle doute de la pérennité du Pacte en raison d'une humanité si versatile et incertaine. Cela dit Lada considère ce Pacte comme un premier acte vers la Paix. Il est insuffisant mais c'est un début pour un mieux. Ajoutons à cela qu’elle est sous le joug d’une promesse de sang, elle a cette amère sensation d’être le pantin de Dracula. En effet, elle s’est elle-même vouée à celui qui l’a sauvée de la torture et elle en paie les frais à jouer sur la limite entre la trahison à l'égard de sa famille et de son sauveur. Une posture très inconfortable, en somme.

Et que pensez-vous du tourisme autour de Dracula ?
Côtoyant Dracula, Lada est bien placée pour comprendre la curiosité que soulève l'Oupyr. Mais que dire concernant les humains mus par leur curiosité malsaine ? Quels sont les mots corrects pour désigner ceux qui ont causé la perte de la magie, le déclin des Anciens Dieux ? Quelle clémence accorder à ceux qui espéraient frémir d'excitation à la vue de sa chair brûlée ? Lada se tient le plus éloignée possible des touristes. Parce qu'elle ne souhaite voir se reproduire l'Histoire, parce que les traces de torture persistent en son âme. Elle bénie cette bulle spatio-temporelle qu'est la Valachie, le répit quoique temporaire qu’elle permet.

Quand arriva le temps de l’obscurité, Lada fut créée par la main divine pour être lumière. Lorsque l’humain perd la foi, c’est la foi elle-même qui s’ébranle à son tour. De sa chevelure couleur astrale et son pardessus rouge carmin, Lada se vit confier en ses mains la survie de ses créateurs. Les Anciens Dieux. Ceux qu’elle aimait indéfiniment, qu’elle vénérait pour leur puissance et leurs créatures, alors même qu’elle ne les avait jamais connus dans leur plus lumineuse omniscience. Ses yeux ne parvenaient guère à considérer leur faiblesse sans cesse plus évidente, bien moins encore leur déclin se faisant chaque jour plus oppressant. Ils étaient la raison de tout être, leur amour avait fait de chaque chose et être ici présente ce qu’ils étaient. Lada refusait que leur soit retiré ce qui était leur. Elle raviverait la foi au sein de tout être, quitte à prêcher auprès des nombreuses portes qui abritaient une âme. Elle les sauverait. N’était-ce pas là la raison de son existence ?

Le temps pressait. Malgré son indéfectible positivité, Lada reconnaissait que son rôle n’avait rien d’aisé. Les Dieux avaient peut-être trop tardé. Ils s’étaient peut-être trop fiés à ce que l’on appelait la reconnaissance. Or les humains se révélèrent être empli davantage encore que leur égocentrisme, d’ingratitude. Lada lutta jusqu’au dernier espoir. Elle aurait peut-être sombré si ses créateurs ne lui avaient pas indiqué le chemin à suivre. Ils l’incitèrent à rejoindre les Baba Yaga, elles seules sauraient l’épauler. Et ce fut le cas. Elle trouva auprès de ses nouvelles sœurs une famille adoptive sur laquelle elle pouvait compter. Les premiers temps furent douloureux. Ô combien douloureux. Et si jamais elle ne compensa la perte des Anciens Dieux, les Baba Yaga furent dans l’ensemble un soutien sans faille. Lada s'adonna aux rites selon les traditions et prit ses marques bien plus aisément que l'on aurait pu s'y attendre.

Les temps étaient sombres. Ils n’avaient cessé de l’être depuis le déclin des Anciens Dieux, mais l’on entra dans une ère bien plus austère encore avec cette activité de chasse aux sorcières à laquelle nombreux humains s’adonnaient avec tant de ferveur. Si innocente, déterminée à revoir ses créateurs et à raviver la foi dans tous les coeurs, Lada tomba entre les mains des chasseurs. Ils s’adonnèrent à des tortures qui aujourd’hui encore hantent ses rêves les plus profonds. Elle connut la douleur jour après jour, sans relâche. Et quand arriva ce jour à la fois craint et espéré, celui de son dernier réveil en ce bas monde, Dracula vint la sauver. Il la sauva du bûcher. La ramena auprès de ses soeurs.Plus que cela encore, son geste ralluma l’étincelle de l’espoir.

Bien des siècles plus tard, l’étincelle vacilla. Parce qu’elle n’était plus celle d’autrefois, elle n’était plus aussi naïve. Surtout, elle n’était plus aussi libre. Elle s’était liée par le sang à Dracula, lui promettant de ne jamais le trahir. Or le Sabbat se montra hostile à l’égard du roi des vampires et surtout du Pacte conclu avec les humains. Tandis que ce dernier prône la paix entre races, les Baba Yaga complotent et convoitent la guerre pour un retour aux temps anciens. Lada, quant à elle, se retrouve alors à osciller entre les deux mais penche progressivement davantage pour Dracula, forcée de tout lui avouer du complot de ses sœurs. Interdite, la déesse ne sait comment se comporter et haït cette posture si inconfortable.

Prénom ou pseudonyme: Léa
Ton âge: 23
Opinion sur le forum: Je suis vraiment fan. J'ai déjà tenté l'expérience sous le perso de Zlata mais dû à des problèmes de santé c'est tombé à l'eau. Me voici de retour, j'ai déjà hâte de rp  
Tu nous as connu comment ?: Bazz.
Ton personnage est un [ x] prédéfini [ ] scénario [ ] inventé
Signature règlement Je, [Léa], confirme avoir lu le règlement et m’engage à le respecter.

- Maître, vous ne devinerez jamais la nouvelle que je vous apporte !

Un courant d’air provoqué par l’ouverture vive de la porte en bois de l’étude fit soulever les feuilles jusqu’alors triées avec précision. Il n’était pas dans les habitudes de Maître Eckhart de s’étendre en démonstrations mais il fut évident que le spectacle des dossiers pris dans une danse apocalyptique qu’il mettait chaque jour un temps fou à classer promptement puis à déposer en un angle bien précis de son bureau ne créait en lui que très peu de joie. Ses lèvres si fines et pincées vinrent former un cercle aux courbes si nettes qu’on ne leur aurait prêté nulle autre forme. Maître Eckhart était profondément contrarié par les événements.
Or ni l’immobilité qu’il tenait pour signature ni le regard accusateur porté à l’égard de l’intruse ne troubla cette dernière. L’entrain de la jeune fille au par-dessus carmin ne fut en rien contrarié, ou bien elle n’en démontra rien. Lada sautilla tout au long du chemin qui menait à un siège, lequel ne reçut d’elle qu’une ignorance franche. Ce qu’elle haïssait l’inconfort de l’immobile !

- Soyez joueur maître et tentez donc de deviner !

Il lui était déjà bien ardu de ne pas tout avouer alors le temps n’était plus à l’hésitation. Maître Eckhart devait s’armer de réflexion et vite s’il ne voulait pas tout recevoir du pot-aux-roses sans goûter au plaisir de la devinette. Lada ne tenait plus de garder le secret plus longtemps. Une profonde impatience provoquait des étincelles nerveuses si intenses au creux de son ventre qu’elle ne put s’empêcher de tournoyer sur elle-même, les bras d’abord en l’air puis les doigts recroquevillés en un poing contre son buste comme pour contenir la boule d’excitation qui menaçait toujours plus. Il ne lui causa aucun remord de piétiner une feuille pour mieux exécuter sa manœuvre. Qu’était un bout de papier en comparaison d’une après-midi au bord du lac le plus mystérieux qu’il eût existé ? Ce qui lui tardait de nager dans les eaux des Vilas. Peut-être même de croiser la route d’une d’entre elle si la chance était de leur côté ? Tant de possibilités s’ouvraient à eux que Lada finit par s’impatienter.
Le regard pointé sur elle indiqua qu’ils étaient deux à partager ce sentiment. Le Maître l’observait d’un œil absent. Était-elle à si peu divertissante à ses yeux ? C’était pourtant bien elle et personne d’autre qui était parvenue à arranger une sortie au lac dont il lui avait tant parlé. Il n’y aurait personne pour les déranger, ce qui n’avait pas été mince affaire à négocier connaissant l’attrait touristique pour le coin. Rien n’aurait pu tarir l’émotion qu’elle portait à l’idée de l’après-midi qu’elle passerait en si bonne compagnie. Rien que tous les deux. Loin de cette pièce sinistre dans laquelle elle n’aurait jamais mis un pied si ce n’était pour les beaux yeux du savant. Peut-être espérait-elle secrètement lui confier lors de cette entrevue les sentiments qu’elle éprouvait à son égard. Mais jamais n’aurait-t-elle pu se l’avouer sans risquer de tomber dans cafouillages et autres hontes. Elle souhaitait que rien ne vienne ternir sa joie, pas même l’absence d’attention que lui portait son interlocuteur n’y parvint. En revanche ses mots, eux, eurent un tout autre effet.

- Veuillez ôter vos souliers de mes comptes, très chère.

Prise de court Lada lui demanda de répéter. Elle n’était pas certaine de l’avoir parfaitement entendu. Les derniers mots qui se voulaient apporter quelque politesse à sa requête finirent d’éteindre un sourire qui s’amincissait à chaque syllabe de la prise de parole. Elle se décala afin de laisser Maître Eckhart ramasser le papier tacheté.
Se jouait-il d’elle ?

- Ai-je commis une faute Maître ?

Il ne lui paraissait que cette excuse pour expliquer l’agissement qu’il avait présentement. Ce n’était guère la première fois qu’elle apparaissait ainsi dans son étude et ils avaient pris pour habitude de rire ensemble : lui de son intrépide jeunesse, elle de sa rigueur ridicule. Lui et elle étaient les parfaits opposés et c’était précisément ce qui les liait l’un à l’autre. C’était cette raie qui séparait ses cheveux en deux rangées strictement égales, ses sourcils incessamment froncés et son mutisme qui avait créé en Lada une passion qu’elle ne pouvait contenir davantage. Et en un sens elle était persuadée d’avoir lu une réciprocité dans ce regard sombre et froid. Elle y avait décelé une faille et y avait gravé son reflet. Que lui prenait-il ?

- Je vous ai demandé de ne plus me surprendre ainsi. De ne plus… venir.

L’hésitation de Maître Eckhart trahissait-elle une crainte à l’égard de Lada ? Ou une hésitation ? C’est ainsi que la jeune fille décida d’interprétation le manquement de son ami.

- Quelque chose semble vous tracasser mais vous ne souhaitez m’en faire part. Je l’entends. Allons donc, je vous emmène au Lac dont vous me parliez tant lors de notre dernière visite. Nous y serons plus à notre aise pour échanger sur vos hésitations.
- NON ! Vous ne comprenez pas. Vous ne voulez pas comprendre.

Qu’il s’emportât ainsi surprit Lada. Elle sursauta et recula d’un pas.

- Je vous ai demandé de ne plus venir du tout. Cela doit cesser. Je ne peux continuer à vous voir sachant les sentiments que vous développez à mon égard. C’est impur. Vous êtes si… jeune.

Lada recula derechef, le bras gauche ballant le long de son corps frêle, l’autre reclus contre sa poitrine. Son cœur menaçait de s’échapper de sa poitrine.
Comment n’avait-elle pu prévoir cela ? Ce n’était pourtant guère la première fois qu’elle se retrouvait dans pareille situation.
Elle qui développait des sentiments amoureux voués à l’échec. Elle qui s’accrochait à des sentiments réciproques qui ne l’étaient que dans son imaginaire. Pour qui s’était-elle donc prise ? Pourquoi s’évertuait-elle à tomber incessamment dans les mêmes abysses ?

- Jeune vous dîtes ? Avez-vous seulement connaissance de mon âge ? Je suis une déesse, issue de la main divine même, enfante de l’éternité. Je n’ai aucun âge et d’aucun âge l’on ne peut me nommer. Et me voilà pourtant coincée dans ce corps bâtard. Enfermée dans cette cage pour l’éternité !

Lada ne souffrait d’aucun essoufflement mais elle marqua un silence. Envahie de colère, d’ennui, de férocité, elle se trouva bientôt ensevelie par le chagrin. Son ton devint plus apaisé. Son immobilité ne connut aucun tremblement tandis que son discours prit fin.

- Votre corps ne sera que pourriture que le mien demeurera le même que celui qui se tient devant vous. Je vous pardonne. Je n’imposerai à personne ma malédiction. Même si pour cela je doive connaître la solitude éternelle. Sans amour amoureux, sans amour de mes divins géniteurs. Je vous souhaite de connaître ce qu’il m’est impossible de trouver. Adieu Maître.

Sur ces paroles et avant de n’en dire trop, Lada s’envola de la pièce sans un bruit. Jamais elle n'y réapparut.

Au nom de toute l’équipe, je te souhaite la bienvenue parmi nous !
J’espère que tu vas bien t’amuser parmi nous.
Si tu as des questions n’hésite pas ici ou dans la section questions. Tu peux également mpotter les staffieux directement !
Tu as à ta disposition une boîte à outils où tu trouveras des bonnes adresses pour t’aider dans la construction de ton personnage et de ta fiche !
Pour mémo, tu as deux semaines pour réaliser ta fiche. Mais pas d’inquiétude, tu pourras toujours demander un délai supplémentaire !
Durant l’élaboration de ta fiche tu peux parfaitement poster sur la fiche des autres pour leur souhaiter la bienvenue, ou même pour flooder. Mais surtout, tu peux venir flooder avec nous ici !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche et surtout, ne t’inquiète pas si ça floode un peu sur ta fiche, c’est l’accueil de la maison !

Oh je me souviens de toi, tu étais la première inscrite!
J'espère que ça va mieux IRL?
Re bienvenue du coup, le Pv est réservé
Courage pour ta fiche, si tu as des questions n’hésite pas
(PS j'avais dit que je passerais avec Yasen que tu connais mieux du coup )

Te voilà donc validé ! Toutes nos félicitations ! Mais avant d’aller rejoindre tes camarades de jeu, prend le temps de jeter un œil ci-dessous :

› pense à remplir ton profil.
› créer ta fiche de liens et de RP où tu pourras créer des liens.
› N’oublie pas de te recenser dans lesbottins
› si tu veux te lancer dans le bain, n’hésite pas à faire ta demande de RP !
› pour toutes tes autres demandes n’hésite pas à venir ici.
› et puis, entre deux RP, n’hésite pas à venir faire un tour dans la zone flood.
› enfin si tu dois t’absenter, averti nous !

C'est tout bon du coup  
Juste pour le détail, ton clan c'est Sabbat pas Baba Yaga ^-^
Bon jeu, et bon amusement parmi nous