S’il y a bien une chose que l’immortalité m’a apprise, c’est de saisir chaque occasion qui se présente à vous. Bonne ou mauvaise, quelle importance cela a-t-il ? Du moment que cela me convient et sert mes intérêts. J’aime l’argent et l’or, plus que de raison. Mais par-dessus tout, j’aime le plaisir de la séduction. Au-delà de la jouissance physique qui met un terme à la chasse. Peu importent les corps du moment qu’ils sont jeunes et beaux. Peu importent les conséquences du moment que le plaisir des sens répond à mon appétit vorace. Je m’en délecte. Mais rares sont celles et ceux qui me résistent bien longtemps. C’en est presque dommage.
Avec mes enfants et encore plus avec les humains, je suis sévère, droit, autoritaire. Je n’agis jamais sans peser les conséquences de mes actes (du moins dans la gestion politique de mes agneaux). Je sais anticiper et il est rare que je me trompe lorsqu’il faut prendre des décisions difficiles. Je poursuis un idéal de justice (et je fais mon possible pour l’atteindre) mais mes pulsions sanguines me font perdre le contrôle de moi. Il suffit d’un mauvais pas, un dérapage pour que ma foudre s’abatte sur vous. Le visage d’ange dont je me pare pour séduire n’est plus que rage et colère.
Les siècles qui passent auraient pu me lasser de la vie sur terre, pourtant j’ai su conserver une joie de vivre car dans chaque période, j’ai appris à m’amuser. J’ai beau considérer les humains comme des créatures viles et insignifiantes, je ne peux que reconnaître leur sens du divertissement. Une soirée en discothèque où les corps suintent d’une énergie bestiale et sexuelle, se frottant les uns aux autres sans tabous ni limites : ce genre de passe-temps est un plat de gourmet pour moi.
En dehors de cela, les humains sont bien inutiles dans leurs misères et leur tristesse. Ceux qui s’en parent comme leur plus bel ornement, je les fuis comme un poison. Je fuis les trop pieux, les brebis par trop bien gardées. Églises et signes religieux sont des ignominies qui me donnent des frissons. De faits, si j’aime la guerre pour son énergie pure et noble, je déteste les émeutes et autres foules en colère. Les révolutions ont marqué une partie importante de mon existence et c’est pour ça que j’ai fui la Russie au début du XXe siècle pour me contenter de mes montagnes de Valachie.
Ne vous avisez pas de craquer une allumette devant moi. Mon regard vous foudroierait sur place. Ne vous avisez pas d’allumer un feu devant moi. Je fuirais votre compagnie à tout jamais. Le feu me tétanise. Le feu me terrifie.

Quel est votre rapport avec les autres mythes C’est une évidence, je fréquente les autres mythes. Ils sont mes cousins éloignés, si l’on peut dire et je préfère de loin côtoyer mes semblables plutôt que d’attendre au fond d’une grotte qu’ils viennent m’égorger par surprise. J’en apprécie certains, n’en supporte pas d’autres mais ils sont mes égaux (quoi que je me sente souvent plus fort, plus beau et plus intelligent qu’eux.) Bien évidement, je sais ce qui se trame du côté des Baba Yaga puisque je suis le Faucheur de leur clan, le Sabbat. Poussé par mon passé, j’ai fini par rejoindre l’avis des sorcières immortelles quant aux humains. Leur perte de repères et l’ascension des religions monothéistes affaiblissent notre magie ancestrale et païenne. Il devient nécessaire d’agir pour notre survie.
Quelle est votre estime des mortels ? Les locaux croient encore en notre existence et nous témoignent le respect que nous méritons. Si je les considèrent comme des inférieurs, je ne leur voue pas une haine sans nom contrairement aux touristes qui mènent avec eux leur incroyance et leur mépris. Le seul moment où je me mêle à eux sont leurs nuits de musiques et d’ivresses pour l’énergie puissante qu’elle génère et dont je me nourris. Le reste du temps, je n’ai que dédain à leur égard. Êtres putrides et inutiles qu’ils sont. Pour nous autres, mythes, les touristes sont une calamité qu’il faut éradiquer. Au-delà des touristes, les non-païens qui se rient de nous.
Quelles sont vos capacités et quel en est votre maîtrise? Je sais voler, vite et bien. Mais je n’aime pas vraiment cela. Je n’utilise ce pouvoir qu’en cas de danger ou d’urgence ou pour de longues distances.
J’aspire l’énergie vitale des jeunes humains. Je les choisis toujours jeunes et beaux qu’ils soient mâles ou femelles, je ne fais pas de différence concernant ce festin particulièrement revigorant. Si par le passé je ne savais pas m’arrêter et volais de nombreuses années à mes victimes, aujourd’hui j’ai appris à ne prendre que le nécessaire au maintien de mon intégrité. Je ne vole que quelques années, parfois quelques mois. Parfois, je vole la totalité de ce qu’il reste dans les corps bouillonnant, c’est rare désormais. Je préfère multiplier les plats plutôt qu’engloutir un seul comme un ogre. Je me qualifie de gourmet plutôt que de gourmand en la matière.
Je prends l’apparence des humains pour mieux manipuler les jeunes femmes sur lesquelles j’ai jeté mon dévolu. Surtout les jeunes femmes trop fidèles pour être honnêtes. Quel bonheur de voir la frayeur après l’extase dans leurs yeux lorsque je dévoile mon apparence préférée à elles…
Je manipule les peurs et j’aime jouer avec. Aussi simple qu’un bonjour, des mots bien placés, des phrases bien tournées et je peux mettre à genoux un mortel en le menaçant de poser cette malheureuse araignée venimeuse, innocente, sur sa langue de menteur.
Selon mes besoins, je sais hypnotiser afin que l’on me rendent service. Si les humains peuvent rester un temps indéfinis sous ma domination, l’efficacité est de courte durée sur les immortels, six heures maximum, je m’entraîne encore à développer ce pouvoir bien utile.
Depuis mon association aux Baba Yaga du Sabbat, j’ai acquis un nouveau pouvoir bien excitant, celui de réveiller les morts. La nécromancie est un art délicat qui demande beaucoup d’énergie aussi en m’associant à Zinitra, je parviens à faire relever les morts. Utile pour les prophéties, les conseils lors de décisions difficiles à prendre et pour une future partie de notre armée, sans aucun doute. Cette pratique m’épuise souvent, aussi me faut-il une humaine sous le coude pour pouvoir me sustenter à volonté. Un sacrifice, en quelques sortes.
Que pensez-vous de Dracula et de son pacte avec les villageois ?
Sans être une mauvaise décision, je trouve que le pacte montre ses limites aujourd’hui, notamment avec l’arrivée des touristes. Il est bien trop tentant  pour les locaux d’outrepasser les règles simples de ce pacte. Et honnêtement, il m’est parfois difficile de m’y tenir, surtout lorsque j’ai affaire à un imbécile. Cependant, malgré tout, je dois admettre que le pacte permet un équilibre dans la zone géographique où je réside la plupart du temps et c’est appréciable. Si je veux être vorace, il me suffit de faire un tour en Europe, ou aux USA qui offrent une jeunesse débridée dont je me régale.
Et que pensez-vous du tourisme autour de Dracula ? Ridicule. C’est mon humbre avis. J’ai vu Dracula s’élever au dessus des autres seigneurs de Valachie au XVe siècle. J’ai vu ses exploits face aux Ottomans. Je l’ai vu devenir une célébrité avec le roman du britannique. Je l’ai vu prendre la grosse tête, soyons honnête. Je n’aime pas la concurrence et je dois bien admettre que cet oupyr me fait de l’ombre à moi, qui suis ici depuis la nuit des temps. Je le méprise autant que les humains. Mais je ne peux m’empêcher non plus d’admirer la façon dont il est devenu celui qu’il est aujourd’hui. Cependant, son goût pour la paix le perdra, j’en mettrais ma main à couper. En attendant, le tourisme est une plaie pour notre belle région, mais un réservoir inépuisable de nourriture pour moi et pour les kochtcheï. Ce serait bien idiot de nous en plaindre.

· Aux origines ·
Au début, il faisait noir. Les colères s’agitaient, pulsaient, tapaient. De l’union de ses colères, Tchernobog et Morena, je suis venu au monde. Fils de violence et de haine plutôt que d’amour. J’ai grandi à l’écart, dans une obscurité totale, privé de chaleur, d’amour, de contacts physiques. J’étais une négation. Une abomination pour eux comme pour moi.
Et puis Zinitra est née. Une promesse d’espoir, un éclat de lumière dans mon monde si froid. Mais j’aperçus à peine son visage qu’on l’amena au loin. Loin de moi, de mon existence. J’étais à nouveau seul, dans le froid glacial de cette terre. Père s’employa à faire de moi un combattant. Le meilleur guerrier. Et je le devins malgré moi. La colère que j’avais hérité de lui, sa froideur et sa rage, faisait de moi un parfait soldat qui n’hésitait pas à tuer et faire souffrir.

· L’Antiquité ·
Pendant que Rome étendait son territoire, repoussant le limes à chaque conquête et assimilant les croyances des nouveaux peuples qu’ils soumettaient, Tchernobog m’ordonna de créer une armée. Et je me pliai à sa volonté. Après tout, il était mon père et je le craignais encore à cette époque là. Je trouvai la Première mère de mes enfants en Scandinavie. Une terre imparfaite, dure et complexe, comme sa population. Elle aimait ma froideur et ma dureté. Elle aimait surtout que j’emprunte les traits de son beau-frère qu’elle convoitait sans pouvoir l’avoir. Je la comblai. À plusieurs reprises. Et elle m’offrit cinq enfants avant que la vieillesse ne s’empare d’elle. Deux filles que je lui laissais, trois fils que j’éduquais pour en faire des guerriers, comme mon père l’avait fait avec moi.
Je parcourus alors le monde, multipliant des unions sans saveur pour créer cette armée dont le but me semblait futile. Si au début je choisissais les mères avec soin, j’avais fini par ne plus y prêter attention. Dès qu’ils furent en âge, je chargeais mes trois premiers nés de m’aider dans cette tâche longue à laquelle j’allais finalement mettre un terme.

· Le Moyen-Âge ·
Les années passaient. Et je voyais mes enfants mourir pour le seul plaisir de mon père qui les menaient au combat comme de la chair à canon. Je le haïssais pour ce qu’il faisait et le monstre que j’étais devenu par sa faute. Il me fallut du temps pour enfin trouver la force de lui dire non, de faire cesser l’hémorragie qu’il créait parmi mes descendants. Mes enfants m’étaient fidèles et me suivirent dans les montagnes de Valachie où j’avais décidé de m’installer.
J’organisai une vie simple et installai l’ordre des Kochtcheï en devenant leur roi. Nous faisions régulièrement des razzias parmi la population du Nord de l’Europe et nous étendîmes nos attaques jusqu’aux confins de la Russie et de la France. Mais l’instabilité politique prenait de l’ampleur avec des tentatives d’invasions récurrentes. J’observai un moment l’ascension de Dracula, intrigué et un peu inquiet. Alors que je redoutai l’avenir, je nommai un régent à ma place pour parcourir le monde.

· XIXe siècle – Russie ·
Fuyant la Valachie par lassitude, je vécus quelques années en Russie où je côtoyais Princes et Princesses tout en me tenant éloigné du Tsar. Je m’engageais comme soldat durant les guerres napoléoniennes et c’est avec peu d’efforts que je devins un héro pour mon régiment. Je fus rapidement gradé. Mais lorsque ma troupe essuya une défaite cuisante, je prétextai avoir frôlé la mort et rentrai à Petersbourg pour y mener une vie de bals et d’administration. Mon argent fut particulièrement utile pour couvrir de bijoux les Princesses convoitant un mariage avec un héro de guerre richissime. C’est à un bal que je rencontrai la belle et douce Katya dont je tombai fou amoureux. Mais elle résistait à mes avances. Nous passions du temps à converser, rire et partager bien plus que je ne l’avais fait avec aucune mortelle. Elle me résista jusqu’à sa mort solitaire car même si elle me trouvait dangereux, elle ne put jamais donner son cœur à un autre. Je porte encore le poids de cet amour platonique et son sourire juvénile me hante encore parfois.
Je restai en Russie jusqu’à la chute du dernier Tsar. Je ne supportai plus ses mouvements de foules et ses émeutes qui préfiguraient l’avènement d’un autre temps. Je devais me retirer pour attendre patiemment avant de découvrir le nouveau monde qui en découlerait.

· XXe siècle – Valachie ·
Revenu sur mes terres au début du siècle, je récupérai mon trône non sans heurts m’obligeant à éliminer le régent que j’avais moi-même installé sur la montagne. Pour enrayer une insurrection et rétablir mon pouvoir, je dus m’allier aux Baba Yaga qui acceptèrent à condition de devenir le Faucheur de leurs sabbats. Ma propre sœur était venue me trouver pour passer un pacte avec moi et je fus incapable de le lui refuser. Cette alliance m’a permis de retrouver la place qui m’étais due et je n’hésitai pas à faire une purge dans les rangs des kochtcheï et des hybrides pour asseoir mon autorité.

Prénom ou pseudonyme: Aza
Ton âge: 31
Opinion sur le forum: magnifique visuel et que dire du contexte ! Je suis fan de Bram Stocker et Oscar Wilde, j’étais obligée de succomber
Tu nous as connu comment ?: Partenariat
Ton personnage est un [ x ] prédéfini [ ] scénario [ ] inventé
Signature règlement Je, Koschei, confirme avoir lu le règlement et m’engage à le respecter. Lu et approuvé.

L’heure des sorcières venaient de sonner. Il était temps. Le Sabbat pouvait commencer.

Le corps gisait sur l’autel seulement réchauffé par le cercle de bougies l’entourant d’un halo orangé.
Les sorcières se taisaient devant moi et Zinitra. Un silence monacal nous enveloppait avec angoisse.  L’air était chaud malgré cette nuit d’hiver. Des humains auraient frissonné, nous ne ressentions que la touffeur oppressive d’une énergie prête à exploser. Mes boucles blondes étaient collées sur mon front luisant.
Torse nu, je levais lentement les bras pour invoquer les forces des Ténèbres. Dans ma mains gauche, la lame de cuivre scintilla face au rayon de lune pleine et ronde. Zinitra récitait une incantation que les sorcières reprirent en une litanie entêtante. Une autre martelait un tambour, lancinant. Je me sentais partir à la dérive. Enivré par cette énergie. Galvanisé par leur pouvoir.
Au lieu de m’en nourrir, je le canalisai à l’intérieur de mon corps, réceptacle au chaos qui serait capable de la plus puissante des magies. L’éveil des morts.

« Ô forces obscures, donnez au Roi le pouvoir interdit
Ô grand univers, aidez-le à soulever ce corps,
Lui insuffler un nouvel élan,
Lui procurer un nouveau cri.
Ô forces les plus sombres, gardiens des profondeurs,
Acceptez de nous prêter cette âme,
Afin qu’elle réponde à nos errances... »

Ma voix résonnait avec force entre les arbres, faisant frémir la flamme des bougies dont je me tenais  éloigné. J’avais eu beau demander à Zinitra de ne pas en mettre, elle n’avait rien voulu savoir. Elles étaient indispensables au rituel. J’avais grimacé avant de finir par céder. Heureusement, je n’avais qu’à me scarifier pour appeler le mort des profondeurs de la terre.

J’abaissai la lame contre mon torse et alors que les sorcières reprenaient l’invocation que j’avais récité plus tôt et coupai lentement ma chair. La douleur fut comme une caresse pour mes sens démoniaques. Douleur salvatrice. Le sang s’écoula de la plaie profonde et je sentais déjà mes forces s’affaiblir alors qu’une aura nouvelle entourait le cadavre. Zinitra s’approcha de moi pour récolter mon sang dans un récipient de bois. Elle plongea son regard sombre dans mes yeux comme pour me signifier que tout se passait bien. Un sourire. Elle murmura un mot que je ne compris pas et la douce douleur éclata dans ma poitrine. Un cri de rage passa mes lèvres et mourut en quelques secondes, me laissant pantelant.

La sorcière s’éloigna. Avec application, elle oignit le front du mort, ses lèvres, sa gorge et sa poitrine, récitant inlassablement les vers magiques qui extrayait la magie de mon corps, relié à celui du mort.

Au moment où elle traça la dernière croix sur le bas-ventre du corps, je tombais à genoux. J’avais chaud, je transpirai. Ma respiration erratique faisait fuir les chouettes des arbres. Je me concentrai une dernière fois et me relevai pour crier avec force.

« Lève-toi ! »

Les membres du cadavre tressaillirent durant de longues secondes puis se redressa pour répondre à mon ordre. Ses mouvements étaient mécaniques et maladroits.

« Maître... »

J’étais épuisé mais lorsque j’entendis ce mot, un sourire démoniaque étira mes lèvres. Quelle satisfaction que cet acte morbide… J’étais fasciné par ce dont j’étais capable depuis que je faisais partie du clan des sorcières. Leurs pouvoirs associés aux miens m’offraient une excitation nouvelle de l’existence.

Zinitra prit le relais, posant les questions auxquelles les sorcières voulaient des réponses. Je n’étais qu’un pantin dans ce rituel et pourtant, j’adorai ça. Je glissai mes paumes blanches sur le sol de pierre, soufflant et feulant. Je voyais mes mains se décharner, mes côtes saillir sur mon torse. Le cadavre puisait dans mes forces et dans mon énergie vitale mais c’était un extase dangereux qui me faisait rire.

Lorsque le cadavre s’écroula enfin, j’inspirai une grande bouffée d’air avant de me laisser aller sur le sol. Les yeux des sorcières suivaient le moindre de mes gestes et je sentais leur désir pour moi mais elles ne bougèrent pas, elles ne le pouvaient pas. Le rituel était ainsi fait. C’était le rôle de Zaria la douce, celle que je fuyais la plupart du temps, d’amener à moi le sacrifice. Celle qui allait mourir cette nuit. Elle l’avait bien choisi. La délicatesse de ses traits, la fougue naissante sur son visage encore juvénile et sa peau d’albâtre lisse et sans défaut.

Je me redressai à peine pour encercler la jeune humaine de mes bras osseux et écartai ses jambes pour l’obliger à s’asseoir contre moi. Elle tremblait la misérable enfant. Je passai une main dans ses boucles sombres. Ses yeux étaient posés sur mon visage émacié. Elle tremblait car elle savait ce qui l’attendait. Pourtant, elle s’accrocha à moi quand je posai mes lèvres sur les siennes. Ses doigts fins se resserrèrent contre mes muscles qui reprenaient vie. Elle ne tenta pas de s’échapper et je pus me nourrir sans effort, aspirant tout son être. Sa poitrine se colla à moi. La chaleur m’enveloppait plus fort encore quand j’étouffai enfin le cri que la pauvre âme voulut pousser.

Sa dernière jouissance avant la mort.

Au nom de toute l’équipe, je te souhaite la bienvenue parmi nous !  
J’espère que tu vas bien t’amuser parmi nous.
Si tu as des questions n’hésite pas ici ou dans la section questions. Tu peux également mpotter les staffieux directement !
Tu as à ta disposition une boîte à outils où tu trouveras des bonnes adresses pour t’aider dans la construction de ton personnage et de ta fiche !  
Pour mémo, tu as deux semaines pour réaliser ta fiche. Mais pas d’inquiétude, tu pourras toujours demander un délai supplémentaire !
Durant l’élaboration de ta fiche tu peux parfaitement poster sur la fiche des autres pour leur souhaiter la bienvenue, ou même pour flooder. Mais surtout, tu peux venir flooder avec nous ici !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche et surtout, ne t’inquiète pas si ça floode un peu sur ta fiche, c’est l’accueil de la maison !  


Oh un membre du Sabbat cool
Bienvenue  
Si tu as d'autres questions n'hésite pas  
Courage pour ta fiche

 

Te voilà donc validé ! Toutes nos félicitations ! Mais avant d’aller rejoindre tes camarades de jeu, prend le temps de jeter un œil ci-dessous :

› pense à remplir ton profil.
› créer ta fiche de liens et de RP où tu pourras créer des liens.
› N’oublie pas de te recenser dans lesbottins
› si tu veux te lancer dans le bain, n’hésite pas à faire ta demande de RP !
› pour toutes tes autres demandes n’hésite pas à venir ici.
› et puis, entre deux RP, n’hésite pas à venir faire un tour dans la zone flood.
› enfin si tu dois t’absenter, averti nous !

Et c'est tout bon
Bon amusement