Dracula est né bien avant que la Valachie soit un royaume indépendant. Son père était le Grand Prince, qui dirigeait la région d’une main de fer sous la direction de Kiev. Prince guerrier, il était un cavalier hors pair et menait des batailles au nom de sa famille quand il croisa la route d’un puissant guerrier mongol qui le transforma en vampire. Son créateur était un vampire très ancien aux caractéristiques physiques assez marquées par son ancienneté. Il était muet, peu habitué à parler la langue des hommes, bestial, et d’une puissance rare. Cependant sous ses apparences d’homme barbare, son créateur était un grand observateur de la vie terrestre et de ses mythes, un païen qui initia Dracula à l’observation et au respect des créatures mythologiques, des divinités et de la vie en général.

Dracula doit son nom à sa lignée humaine, celle des Dracul, qui se disaient descendant des Dragons et formèrent l’ordre des Dracul auquel est lié les Tepes, descendants des grands princes de la région. Dracula est donc lié par le sang, son sang humain, aux dirigeants de la Valachie. Et lorsque ceux-ci sont attaqués par les Ottomans, Dracula ne peut rester loin longtemps. Apprenant la mort de quasiment tous ses descendants, il s’interpose et ramène la paix dans le pays. Il impose alors un roi en Valachie, son propre fils, qu’il a eut avec une mortelle dans l’unique but de restaurer la lignée des Tepes. Il n’y a d’amour entre lui et cette mortelle, cette union est purement politique et dessine alors la voie qu’il va choisir par la suite afin d’assoir l’autorité de sa lignée et de sa manière d’agir pour le bien commun.

Alors que le calme revient, Dracula décide de s’installer. Il reste ainsi près du pouvoir, surveillant ses descendants mortels du coin de l’œil. Et c’est ici, dans les Carpates, un lieu naturellement protégé qu’il choisit de fonder son royaume, sa vision de l’éternité et du paradis. Il se lie avec les créatures locales, il fonde les accords avec les locaux, et pacifie la région, il opère non plus pour sa lignée mais pour toutes les créatures. C’est en allant à Londres pour tenter un pacte avec les vampires occidentaux qu’il fait la rencontre de la jeune Mina Harker dont il tombe amoureux, ils se marient, elle lui donne un fils, mais elle finit par être tuée par des chasseurs de vampires qui cherchaient à l’atteindre lui. C’est ses trois femmes officielles, ses trois épouses vampiriques, qui le retiennent de mettre à feu et à sang la région pour punir l’église. La paix doit être préservée, mais elle est parfois difficile à maintenir.

Erzébeth a d'abord été une comtesse hongroise, une épouse dévouée, une femme qui élevée selon les principes d'éducation de son temps a mis de côté ses désirs et ses passions afin d'être une épouse dévouée, une comtesse dédié à son peuple, une patriote qui a sacrifié son mariage et son bonheur à la cause de l'état. Son mari était absent, au loin, quand elle a fait la rencontre d'une sorcière, d'une Baba Yaga dont elle est profondément tombée amoureuse. Erzébeth avait toujours préféré les femmes au homme mais n'avait jamais osé se l'avouer encore moins l'assumer, et son amour a grandit, elle a alors laissé libre court à ses passions, pas seulement à son amour pour une femme. Elle a commencé à dévoiler ses goûts pour le sadisme et son besoin de rester belle à jamais, c'est alors qu'elle s'est intéressé au pouvoir du sang des vierges et quand il est devenu insuffisant, sa maîtresse a trouvé un Oupyr capable de lui donner la jeunesse éternelle. Hélas, les hommes de pouvoir ont compris qu'elle devenait trop puissante, qu'elle versait dans les arts occultes et ont tenté de la punir, de la renverser. Erzébeth n'a jamais été emmurée vivante, sa Baba Yaga l'en a sauvé. Les deux femmes ont fuit la Roumanie. Elles se sont installées en Transylvanie, ont commencé à exercer un règne de sang qui a menacé l'équilibre et attiré l'attention de l'ordre Teutonique. Afin d'apaiser les tensions et ramener la paix, Dracula a épousé Erzébeth mais ce mariage est uniquement un accord politique, Erzébeth étant toujours fidèle et loyale à l'amour de sa vie, sa sorcière, sa bien aimée.

Ombre avait deux soeurs, elles vivaient loin des hommes même si elles aimaient se mêler à eux, leur donner de fausses prophéties pour les voir tomber dans le piège facile de l'ambition, les regarder se détruire dans la guerre et se repaitre ainsi de leurs échecs, de leur fatalité et mortalité. Mais un jour, Ombre s'approcha trop près des hommes, elle tomba amoureuse d'une simple humaine, d'une mortelle, et ses soeurs l'abandonnèrent, la bannirent loin des limbes et lui en interdirent l'accès. Ombre était en effet tomber amoureuse d'Erzébeth Bathory, elle devient sa servante pour l'approcher, et tissa sa toile dans l'esprit de sa maîtresse afin de la faire basculer dans l'obscurité qui était la sienne, elle la poussa à l'avarice, à l'envie, au désir d'être toujours jeune et belle, éternellement, à la noirceur et au vice, elle en fit sa maîtresse et son amante, la transforma en oupyr par le biais d'un vampire qu'elle captura et influença. Mais Erzébeth finit par la dépasser, devint plus ambitieuse que Ombre ne l'avait prévu, et accepta d'épouser Dracula, de rejoindre sa cour au grand dam de Ombre. Jalouse de ce Dracula, elle se mit à oeuvrer en secret afin de disloquer l'alliance avec sa maîtresse et ce dernier, et surtout, elle se rapprocha de ses soeurs, alimenta en elle la jalousie envers Dracula et sa cour, et enfin, les poussa à s'émanciper de Dracula.

Carmilla était une jeune femme issue de la noblesse atteint d’un mal incurable lorsque Lord Ruthven l’a transformé en vampire, il lui a tout appris de comment se mêler aux mortels, comment les approcher en jouant sur son apparence fragile et son teint maladif, comment les tuer dans leur sommeil, comment les tromper jusqu’au bout, et s’enfuir avant les premières lueurs du soleil. Carmilla a tout appris de son créateur, puis voler de ses propres ailes. Elle a voyagé en Europe, séduit souvent des jeunes filles, ses préférences la portant vers les femmes. Carmilla s’est passionné pour les arts, la poésie notamment. Vampiresse à l’âme esseulée, elle a un penchant pour la dépression, et les histoires d’amour compliquées avec des mortelles. N’ayant jamais pu enfanter, elle déteste les enfants, et ne supporte pas l’idée de créer des jeunes vampires. Elle a une vision très sombre de l’avenir, pensant que l’humanité comme les mythes sont condamnés. Quand elle rencontre Dracula, c’est une histoire d’amour compliquée entre eux, le comte est attiré par elle, mais Carmilla n’a guère d’amour à lui offrir. Il tente de la sauver de la langueur qui s’empare inévitablement d’elle. En vain, elle devient malgré tout son épouse, apportant avec elle son créateur un puissant vampire d’Angleterre. Quand Dracula tombe amoureux de Mina, Carmilla est la seule à le soutenir. Au fond, même si elle a une vision sombre de l’avenir, Carmilla soutient toujours les amoureux.

Lorsqu’il est allé en Angleterre, Dracula a fait la rencontre de Mina Harker, une humaine qui ressemble à sa première épouse humaine. Il tombe amoureux d’elle, lui fait la cour, la convainc de venir avec lui en Transylvanie. Hélas, le couple est pourchassé par l’époux humain de Mina ainsi qu’un chasseur de vampire nommé Van Helsing. Dracula est d’autant plus protecteur vis-à-vis d’elle qu’elle est enceinte. Van Helsing se retient de les tuer en réalisant qu’elle est enceinte. Le chasseur menace cependant Dracula, s’il transforme Mina, il viendra les tuer tous les deux. Dracula ne transforme donc pas Mina, et de leur union né Alucard, un hybride, symbole de leur union et de leur amour. Mina finira cependant par mourir aux mains de l’Église, qui la juge responsable des crimes de Dracula. Alucard ne se remettra jamais totalement de la mort de sa mère. Tant qu’elle était en vie, il se sentait impliqué dans la vie du château, et celle de son père, mais après la mort de celle-ci, Dracula est devenu distant même avec son fils, le laissant seul. Seule Carmilla le soutenait, l’écoutait. Se sentant seul, étranger, Alucard a alors pris ses distances, s’il séjourne encore au château ce n’est qu’occasionnellement.

Cici a été élevée pour servir la cour de l’Impératrice, elle a grandi au sein de la Cité Interdite. Elle possédait le don de seconde vue, et avec d’autres sensibles, elle prédisait l’avenir, prophétisait pour l’impératrice. Mais la Chine s’ouvrait au monde, notamment à la Russie qui vint proposer des marchés économiques. Cici tapa dans l’œil d’un commerçant russe venu négocier les traiter d’échange. Cici lui fut quasiment vendue. Elle devient sa maîtresse, et perdit ainsi son statut, sa magie, car elle croyait que sa magie ne pouvait s’exercer que si elle était vierge. Malheureusement, la vie en Russie ne fut pas tendre avec elle, et l’épouse jalouse du commerçant empoisonna Cici.

Aux portes de la mort, elle appela les jiangshis, vampires chinois, et les supplia de lui donner l’occasion de se venger, ceux-ci la transformèrent alors en vampire. Elle se releva, et frappa mortellement celui qui avait été son amant ainsi que sa meurtrière. Après cela, elle se retrouva perdue en Russie ne sachant que faire, elle erra pendant de longues années, des siècles avant de trouver Dracula et sa cour. Ce dernier avait déjà passé les accords et lui proposa d’entrer dans sa cour. Elle était délicieusement exotique, aussi plaisait-elle fortement à Dracula qui a toujours été curieux de voir le monde, et les créatures l’y habitant. Cici se plait dans la cour de Dracula qui lui évoque sa chère cité Interdite. Même si elle se sent toujours étrangère, elle a enfin trouvé un foyer, et cesser d’errer.

Artémis est née à Constantinople, dans la sphère royale, princesse de sang. Elle a grandi avec les murs du harem, élevée par les femmes pour être une épouse et une mère un jour. Sa vie a toujours été tracée, dépourvue de choix et d’amour. Elle s’est réfugiée dans les écrits, les arts parlés, chantés, poèmes pour s’occuper. Elle fut initiée par une vieille prêtresse à l’art de la divination, maniant les cartes et les pierres pour prédire l’avenir dans un langage sibyllin. Elle fut mariée à 14 ans à un prince de Byzance, devenant sa seconde épouse. Sa première femme ne lui ayant donné que des filles, il espérait d’elle un fils et héritier. Malheureusement, Artémis est stérile ce qui lui vaudra une vie de souffrance et de violence conjugale. Ce sera la troisième épouse, qui offrira le fils désiré. Pourtant quand son époux, pris de folie, décide d’attaquer sans raison et avec sa propre armée la Valachie, c’est elle qu’il prend. Elle lui sert à se défouler quand cela ne va pas comme il veut. Et ce fut un massacre, Dracula et son armée n’eurent aucun mal à éliminer l’envahisseur.

La sanction de Dracula ne fut point mince. Il transforma Artémis sous les yeux de son époux avant de le tuer. Le Saigneur de Valachie avait toujours voulu une fille, du temps de son humanité, aussi a-t-il vu en Artémis la parfaite candidate. Et on peut dire qu’entre eux l’affection fût instantanée et réciproque. Artémis se complaît depuis son éveil à son rôle de fille chérie, pourrie et gâtée par moment capricieuse. Elle a développé un amour inconsidéré pour les arts parlés, les protégeant volontiers et invitant des artistes au château. Dracula lui a aussi appris l’art de la guerre, du combat la transformant en guerrière, qui n’aurait plus jamais à se soumettre aux désirs des hommes. Artémis savoure la vie au château, avec ses serviteurs et son favori. Elle s’est accommodée des trois épouses Oupyrs de Dracula et de son épouse humaine, lui ayant donné un fils.

Petit noble de province du sud de l’Angleterre, Edward grandit dans une famille de petite noblesse. Il souffre de n’être l’aîné, d’être issu d’une famille pauvre de petite noblesse. Il est ambitieux, il embrasse une carrière de prêtre dans l’unique but d’atteindre ainsi des hautes sphères de pouvoir. Par ce biais, il est plus cultivé et atteint une place intéressante à Londres, mais l’Église a ses limites, et surtout, il a soif de chair fraiche. Abusant de son statut d’homme d’Église il corrompt des jeunes filles comme des femmes mariées, il s’adonne au pêcher de chair avec des hommes également ce qui lui vaut d’être renvoyé. Pour s’éviter le parjure et la honte, il parvient à se trouver un mariage avec une jeune fille riche désirant un titre de noblesse. Cela lui permet d’atteindre la cour du Roi d’Angleterre, où il devient un conseiller. Malheureusement ses manœuvres finissent par être découverte et pour le punir, le roi l’envoie sur les champs de bataille.
Edward n’étant pas un bon guerrier, il est mortellement touché, mourant, il croise la route d’un vampire écumant les champs de bataille afin de se rassasier. Il est alors transformé, essentiellement du fait de sa beauté et de son intelligence. Mais Edward ne cessant d’être ambitieux, il feint d’être un jeune vampire loyal, patient, en quête d’apprentissage et de savoir alors que tout ce qu’il désire c’est grimper les échelons de la hiérarchie vampirique et surtout s’affranchir de son sire envahissant et trop autoritaire à ses yeux. Il y parvient à force de manœuvres et de manipulation, mais il est vraisemblable que son sire ait également compris le danger qu’il représentait et ait préféré le laisser auprès d’autres vampires. Edward s’infiltre auprès du roi des vampires d’Angleterre, mais ses penchants pour les vices pose problème avec l’Inquisition, on le pousse à partir.
Son infante qu’il a créée lors de ses aventures est la rare femme qui a su toucher son cœur, il l’aime comme sa fille, et est capable d’énormément de douceur envers elle. Lorsqu’on le pousse à partir, il embarque son infante avec lui, prenant comme excuse le fait qu’elle souffre de dépression et qu’il vaut mieux qu’il la fasse voyager. C’est lui qui a provoqué la rencontre entre Dracula et Carmilla, lui encore qui a poussé les deux vampires à se marier, pensant ainsi bien se placer auprès de Dracula. Mais une fois en place, il déchante, il n’est pas le seul ambitieux et Dracula de part son caractère est peu influençable.

Dimitri est né dans une famille bourgeoise. Il reçoit une éducation somme toute standard, ses parents étant des universitaires, il prend le même chemin que ses parents dans un premier temps, devenant prof d’histoire. L’histoire le fascine, mais plus encore, l’histoire d’un certain comte Dracula. Il délaisse sa femme enceinte pour aller en Transylvanie à la recherche du comte. Ses recherches l’amènent au château, il mettra du temps avant d’accéder au comte et à lui prouver qu’il n’est une menace pour lui ou les autres vampires, et plus encore, à montrer qu’il peut le servir. Mais au bout du compte, Dimitri lui prouve qu’il est un excellent tacticien et un orchestrateur tout à fait valable.

Aujourd’hui, Dimitri est l’homme derrière l’organisation de la cour. Durant la journée, il assure la protection du comte. Son rêve est devenu réalité, ce qu’il a étudié pendant des années lui sert chaque journée afin de protéger l’être qu’il vénère et respecte le plus au monde. Dracula lui a proposé de le transformer mais Dimitri a refusé, il s’estime trop vieux, et au fond, tout ce qu’il désirait était de protéger le vampire, d’user ce savoir auquel il a dédié une bonne partie de sa vie. À présent, il dirige une petite armée d’homme qui servent de garde durant la journée, il est même devenu un chevalier, un membre de l’ordre de Dracul.

Première née d’une famille nombreuse hongroise, Livia porte le nom d’une ascendance jadis puissante et imposante. Ainée d’une fratrie de 5 enfants, elle n’a jamais été la fille sage ou encore l’exemple à suivre pour ses petits frères et sœurs.

Aujourd’hui, son patronyme ne veut plus rien dire et la jeune femme n’a jamais vraiment eu de grands projets de vie ; décevante aux yeux de ses parents, elle a vite quitté le nid familial — vers ses 23 ans — pour changer d’air et parcourir le monde avant de revenir, en 2016, sur ses terres natales. L’aventure et sa curiosité, de même que son amour pour les romans de capes et d’épées ou d’univers fantastiques la conduiront sur les traces de Bram Stoker et la pousseront dans un monde fascinant qu’elle ne voudra alors plus jamais quitter.

Propulsée auprès de la Cour du véritable Dracula, la jeune femme s’y fera une place de choix, usant de ses charmes, de son intelligence hors norme et de sa conversation sans fin. Son côté frivole, moderne et tout à fait pétillant attire le regard et pour la première fois de sa vie, Livia se sent à sa place, au centre de l’attention. Elle trouve en elle une ambition qu’elle n’avait pas jusqu’alors et se découvre sensuelle et séduisante. Bien loin de sa vie bien morne et ennuyeuse, la descendante des Nádasdy fantasme et rêve qu’un jour, elle fera partie intégrante de cette Cour qui l’a accueillie. Son exubérance attirera autant l’admiration que la méfiance chez les vampires.

Vieille carcasse depuis son premier souffle, Örs est né d’une union de convenance et sans amour. Père alcoolique, mère désintéressée — ou en tout cas plus intéressée par les hommes plutôt que par sa progéniture — le gamin grandit, seul, entouré d’amis imaginaires et de bouquins. Ils furent son salut, d’ailleurs, et c’est en leur compagnie qu’il entretint sa matière grise, qu’il la forgea pour faire de lui l’homme qu’il est aujourd’hui. Il travailla d’arrache-pied pour se payer les études qu’il convoitait et pour tracer sa route, loin des querelles de ses parents. Vers ses 28 ans, il apprit la mort de son père. Bien peu affecté par cette perte, le jeune homme continua à étudier, creusant un peu plus le fossé entre lui et les « autres ».

Crevé à la tâche, Örs fait plus âgé, il est courbé, fatigué, mais jamais découragé ; il obtient son diplôme avec mention. Accro au café et à la cigarette, le médecin se penche alors vers l’alchimie, vers les médecines d’autres fois, vers la chimie des fantasmes et ses recherches, ses découvertes le mènent au Château de Bran où il demande audience à nul autre que Dracula. Il n’en sait rien, évidemment, et ne l’apprendra d’ailleurs que bien plus tard, quand il finira par se poser les bonnes questions : pourquoi les gens de ce château vivent-ils dans un autre temps, pourquoi n’y a-t-il pas de télévision, pourquoi fuit-on autant le soleil ? Son ignorance fera bien rire le Sire, qui, attiré, amusé par l’étrangeté de cet homme, oublie parfois, légèrement, sa propre morosité.

Son parcours le pousse à quitter un temps la médecine moderne pour se dédier à l’alchimie et à l’étude des Vampires. Il est fasciné, transcendé par ces découvertes et on le nomme Médecin de la Cour. Il est capable, le fourbe, de soigner les vivants, comme les non-morts.